résumé:
Karin est une DNA opératrice du monde futur. Elle revient à notre époque à bord de sa capsule spatio-temporelle qu'elle cache dans un parc d'attraction désafecté.
Au début de la série, Junta est chez une de ses amie, Tomoko. Il a hélas contracté une sorte d'allergie qui le rend malade à chaque fois qu'une jolie fille l'approche de trop près et Tomoko ignore cette maladie. Elle s'amuse même à le provoquer pour le séduire. La réaction est automatique : Junta rend tout son repas sur la moquette devant les yeux médusés de Tomoko. Cette allergie compromait toujours ses relations avec les filles. Tomoko est d'ailleurs plutôt attirée par Ryuji, la coqueluche de toutes les filles de son école.
La seule fille que Junta supporte est Ami, sa voisine d'en face et son amie d'enfance, qui tient un restaurant. Son immunité s'explique facilement : Ami s'est toujours comportée avec Junta comme un garçon manqué. Leurs relations ne sont pas idylliques cependant. Junta ne peut pas s'empêcher d'enfoncer le clou et d'insister sur le manque de féminité d'Ami. Celle-ci répond d'ailleurs à ces remarques désobligeantes par des coups assez viloents. Leurs rapports ressemblent à ceux entre Ryo et Kaori dans City Hunter ou Ranma et Akane dans Ranma 1/2.
Karin s'est mise à espionner Junta et s'étonne qu'il n'ait rien d'un playboy. Pourtant, d'après ses données, Junta le futur Megaplayboy qui mettra une centaine de femmes enceintes. Sa descendance héritera des mêmes penchants, fera exploser la natalité et provoquera de réels problèmes démographiques de surpopulation à long terme. Karin a été envoyée pour modifier un gène chez Junta avant sa maturité. Pour cela, elle invite Junta dans un café pour discuter en tête à tête. Après lui avoir décrit succitement la situation, elle sort son pistolet spécial et lui tire dessus puis prend la fuite.
Tout le monde dans le café croit qu'il s'est produit un meurtre mais finalement Junta se relève sans une égratignure et il se demande même s'il n'a pas rêvé. De son côté, Karin retourne au vaisseau, fière d'avoir accompli sa mission. Elle a tiré sur Junta avec une balle contenant le remède contre l'état de Megaplayboy et normalement tous ses gênes vont se modifier pour redevenir standards.
C'est pourtant à cet instant là que les ennuis commencent. Le supérieur de Karin lui confirme qu'elle n'a pas utilisé la bonne balle. Au lieu de supprimer les pulsions de Megaplayboy, l'antidote injectée va les réveiller. En plus, il n'existe pas de remède disponible pour annuler les effets. Karin est obligée de surveiller Junta et de retarder au maximum sa métamorphose.
Le soir même; Junta se rend chez Tomoko. Celle-ci est très déçue par l'attitude outrageante de Ryuji qui s'affiche avec plusieurs petites amies à la fois. Alors qu'elle est sur le point de fondre en larmes, Junta se transforme dans un hallo de lumière et trouve les mots justes pour la consoler. À la fin, elle est prête à se jetter dans ses bras mais le Megaplayboy s'éclipse. En partant, Junta retrouve son apparence normale et croise dans le couloir Ryuji, venu pour s'excuser auprès de Tomoko. Ryuji a la désagréable surprise de voir porte close et de devoir rebrousser chemin : Tomoko en aime un autre.
commentaire
Douze épisodes ont été diffusés à la télévision au Japon. Les trois derniers sont en fait des OAVs, éditées à l'occasion de la sortie en vidéo de la série. Ils forment une mini histoire qui donne un bon point final à l'histoire. Comme Video Girl Ai, DNA2 (dire DNA au carré) est inspiré d'un manga de Masakasu Katsura, qui ne s'étale que sur cinq volumes. La qualité est cependant moins bonne même si le générique est superbe et le nombre d'épisodes est restreint. Certains mouvements sont saccadés et quelques scènes sont réutilisées notamment pendant l'entraînement de Kotomi à la GRS.
D'un autre côté, le ton des couleurs est agréable, les traits des personnages détaillés et les paysages sont soignés. Cet anime mélange (beaucoup) de soap opera avec (un peu) de combats imprégnés de coups surnaturels qui donnent du rythme à la série.
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Sam 14 Jan - 12:08
c'est horrible on en a mal au orielle 